Finalité de 4 ans d’étude consacrées au design graphique, le pouvoir du graphisme traîte des notions d’éthique, d’influence, d’équilibre du pouvoir. On y parle de l’impact concret des éléments graphiques sur notre manière de penser, de nous construire en tant qu’individus mais aussi en tant que sociétés, la réflexion au fil des pages mettant aussi bien en avant la responsabilité et l’éthique du designer, que l’implication et la conscience d’esprit du spectateur.
La première de ces parties traite des cinq outils principaux mis à disposition du designer, et de leur influence.
La couleur, les formes, la typographie, l’image – comprenant l’illustration et la photographie, et la composition y sont donc scrutées, analysées, disséquées, afin d’informer le lecteur sur leurs origines, leur utilité pour le designer et surtout quelles sont leurs influences inconscientes sur notre petit cerveau d’humain conditionné.
Le pouvoir du graphisme est, comme son nom l’indique, un ouvrage sur le pouvoir. L’éthique du designer était donc la suite logique à la première partie exposant au grand jour le pouvoir de chacun des éléments graphiques mis à la disposition des designers. Car un grand pouvoir implique de grandes responsabilités, n’est-ce pas ?
C’est ainsi qu’est né Le monde du design, ayant pour but de répondre concrètement au problème soulevé tout au long du livre.
